Les orgues de  Paris
ORGUES DE PARIS © 2024 Vincent Hildebrandt ACCUEIL LES ORGUES

Cité de la Musique-

Philharmonie de Paris

221, Avenue Jean Jaurès, 75019 Paris

Collections du Musée de la Musique - Poikilorgue

La grande salle de la Philharmonie >

Amphithéâtre de la Cité de la musique >

1834 - Aristide Cavaillé-Coll
Le poïkilorgue ou orgue expressif varié est un instrument de musique de la période romantique à clavier et à anche libre de la famille de l'orgue, précurseur de l'harmonium et inventé par Aristide Cavaillé-Coll en collaboration avec son frère et son père. L'accordéon, le physharmonica ou l'harmoniflûte sont ses prédécesseurs. Il en diffère par la puissance du son augmenté ou diminué à volonté donnant ainsi la plus variée des expressions. Les anches sont mises en vibration par l'intermédiaire du clavier et l'air est envoyé par des soufflets actionnés par des pédales. La pédale gauche actionne un soufflet qui remplit le soufflet réservoir. La pédale droite est connectée avec le soufflet réservoir et fonctionne comme un balancier : en la pressant avec la pointe du pied, on augmente la pression de l´air, avec le talon, on baisse la pression de l´air. Son clavier de quatre octaves et demi, d'ut à fa, permet de filer les sons du pianissimo au fortissimo de manière continue ou par sauts. Le diapason est la 440. Le tempérament est inégal sur base mésotonique variée. Ce tempérament inégal, proche des tempéraments français du xviiie siècle comme celui du Dom Bedos et qui présente une quinte du loup, est confirmé par les pièces de Louis James Alfred Lefébure-Wély n'utilisant que des tonalités avec peu d'altérations. Source: wikipedia Vidéo : The Poikilorgue explained by Jérôme Lejeune Vidéo : Joris Verdin plays the Poïkilorgue Plus d’information
Inaugurée en 1995, la Cité de la musique a été conçue par l’architecte Christian de Portzamparc. Celui-ci l’a voulue en forme de « ville onirique », espace invitant au mouvement, ouvert sur la cité, lieu de rencontre. Née du désir de réunir en un même lieu le Conservatoire de Paris et son musée d’instruments, à l’étroit dans leurs locaux de la rue de Madrid, et des espaces — salles de concert et de répétition — permettant d’organiser dans des conditions optimales des événements publics, la Cité de la musique a été inaugurée en janvier 1995. Le projet original consistait ainsi à rapprocher l’enseignement et la diffusion de la musique. C’est l’architecte Christian de Portzamparc qui a été choisi pour le réaliser. Il obtiendra le prix Pritzker, l’équivalent du Nobel pour les architectes, en 1994, après une décennie consacrée au bâtiment. Source
Il n’existe pas de chiffres précis sur le nombre d’instruments fabriqués. L’existence de sept poïkilorgues est documentée : deux dans la collection du musée du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris one in the Musée des Arts et Techniques in Paris un au Musée des Instruments de Musique de Bruxelles trois dans des collections privées.
Les orgues de Paris

Cité de la Musique-

Philharmonie de

Paris

221, Avenue Jean Jaurès, 75019 Paris

Collections du Musée de la Musique -

Poikilorgue

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ORGUES DE PARIS © 2024 Vincent Hildebrandt LES ORGUES
1834 - Aristide Cavaillé-Coll
Le poïkilorgue ou orgue expressif varié est un instrument de musique de la période romantique à clavier et à anche libre de la famille de l'orgue, précurseur de l'harmonium et inventé par Aristide Cavaillé-Coll en collaboration avec son frère et son père. L'accordéon, le physharmonica ou l'harmoniflûte sont ses prédécesseurs. Il en diffère par la puissance du son augmenté ou diminué à volonté donnant ainsi la plus variée des expressions. Les anches sont mises en vibration par l'intermédiaire du clavier et l'air est envoyé par des soufflets actionnés par des pédales. La pédale gauche actionne un soufflet qui remplit le soufflet réservoir. La pédale droite est connectée avec le soufflet réservoir et fonctionne comme un balancier : en la pressant avec la pointe du pied, on augmente la pression de l´air, avec le talon, on baisse la pression de l´air. Son clavier de quatre octaves et demi, d'ut à fa, permet de filer les sons du pianissimo au fortissimo de manière continue ou par sauts. Le diapason est la 440. Le tempérament est inégal sur base mésotonique variée. Ce tempérament inégal, proche des tempéraments français du xviiie siècle comme celui du Dom Bedos et qui présente une quinte du loup, est confirmé par les pièces de Louis James Alfred Lefébure-Wély n'utilisant que des tonalités avec peu d'altérations. Source: wikipedia Vidéo : The Poikilorgue explained by Jérôme Lejeune Vidéo : Joris Verdin plays the Poïkilorgue Plus d’information
Il n’existe pas de chiffres précis sur le nombre d’instruments fabriqués. L’existence de sept poïkilorgues est documentée : deux dans la collection du musée du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris one in the Musée des Arts et Techniques in Paris un au Musée des Instruments de Musique de Bruxelles trois dans des collections privées.