La congrégation du Saint-Esprit avait acquis les terrains en 1731, mais la construction de la chapelle commença en 1769 avec l'architecte Nicolas Le Camus de Mézières. Les travaux furent interrompus et reprirent en 1775 avec l'architecte Jean-François Chalgrin. La façade de la chapelle avec le bâtiment sur rue Lhomond est ornée d’un bas-relief de François Duret. L’intérieur de la chapelle a été peint et décoré en 1876-1878.Le séminaire est fermé en 1792. Ses bâtiments vendus en 1796 sont utilisés par une fabrique de papier puis en 1813 par l’école normale supérieure. La communauté est revenue en 1822 dans ses anciens locaux qui sont la maison mère de la congrégation du Saint-Esprit.Photos : Vincent Hildebrandt
D5Le premier orgue de la chapelle date du XIXème siécle. La date de construction et nom du facteur nous sont inconnus. L’orgue a probablement été construit au cours du premier tiers du XIXème siècle. Une plate-face porte la date de 1848, date probable à laquelle l’orgue fut posé dans la chapelle.Il a été remanié au début du XXème siècle par Charles Mutin (la date précise est également inconnue). Il transforma profondément le buffet et ne garda que la partie haute, qui fut séparée en deux corps de part et d’autre de la console. L’instrument fut doté d’une traction pneumatique.En 1984, le facteur Adrien Maciet reconstruit alors l’instrument en reconstituant le buffet d’origine.Il réemploya de nombreux tuyaux et compléta la partie instrumentale avec des jeux provenant de l’orgue Chéron de Mortain.Un relevage par Alain Léon est prévu.L’orgue a 2 claviers de 56 notes et pédalier de 30 notes.
D5Le premier orgue de la chapelle date du XIXème siécle. La date de construction et nom du facteur nous sont inconnus. L’orgue a probablement été construit au cours du premier tiers du XIXème siècle. Une plate-face porte la date de 1848, date probable à laquelle l’orgue fut posé dans la chapelle.Il a été remanié au début du XXème siècle par Charles Mutin (la date précise est également inconnue). Il transforma profondément le buffet et ne garda que la partie haute, qui fut séparée en deux corps de part et d’autre de la console. L’instrument fut doté d’une traction pneumatique.En 1984, le facteur Adrien Maciet reconstruit alors l’instrument en reconstituant le buffet d’origine.Il réemploya de nombreux tuyaux et compléta la partie instrumentale avec des jeux provenant de l’orgue Chéron de Mortain.Un relevage par Alain Léon est prévu.L’orgue a 2 claviers de 56 notes et pédalier de 30 notes.