Chapelle des
missions étrangères
128, rue du Bac 75006 Paris
1928- Louis Debierre
I/6- traction mécanique
composition (56 notes)
Bourdon 16' (Dessus)
Bourdon 8' ( Basse)
Violoncelle 8' Dessus)
Flûte octaviante 4' ( Basse/Dessus)
Nasard 2' 2/3 (Basse/Dessus)
L’orgue possède un clavier transpositeur ( Ut à mi,
vers le grave & Sol a Ut, vers l’aigu).
La traction de la mécanique est foulante
avec balanciers et laye renversée,
celle des jeux est directe avec des balanciers.
A la demande de nombreuses paroisses, qui n'avaient pas les
moyens de se fournir un orgue à tuyaux, Louis Debierre conçut
un instrument ressemblant à un gros harmonium, mais qui en
fait contient des astuces et innovations spectaculaires. Ainsi,
partant du principe que dans les basses, on n'utilise jamais de
notes conjointes, les tuyaux les plus graves peuvent donner 3
notes différentes, par un ingénieux système de petits soufflets. Ce
qui fait évidemment gagner du volume. De même, il divise par
deux la longueur des jeux de fonds, en jouant sur la pression
d'air et les embouchures. Bien sûr, la qualité de son n'est pas la
même qu'un vrai jeu de 8 pieds. Les tuyaux de la trompette sont
merveilleusement coudés pour entrer dans le meuble. Debierre
en fut fabriqué environ 500, que l'on trouve surtout en Loire-
Atlantique, mais il y en eut beaucoup installés dans les
anciennes colonies françaises, avec un traitement spécial
"tropicalisé".
(texte : Roger Martin)
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Chapelle des
missions
étrangères
128, rue du Bac 75006 Paris
1928- Louis Debierre
I/6- traction mécanique
composition (56 notes)
Bourdon 16' (Dessus)
Bourdon 8' ( Basse)
Violoncelle 8' Dessus)
Flûte octaviante 4' ( Basse/Dessus)
Nasard 2' 2/3 (Basse/Dessus)
L’orgue possède un clavier transpositeur ( Ut à mi,
vers le grave & Sol a Ut, vers l’aigu).
La traction de la mécanique est foulante
avec balanciers et laye renversée,
celle des jeux est directe avec des balanciers.
ORGUES DE PARIS 2.0 © Vincent Hildebrandt LES ORGUES
A la demande de nombreuses paroisses, qui n'avaient pas
les moyens de se fournir un orgue à tuyaux, Louis Debierre
conçut un instrument ressemblant à un gros harmonium,
mais qui en fait contient des astuces et innovations
spectaculaires. Ainsi, partant du principe que dans les
basses, on n'utilise jamais de notes conjointes, les tuyaux
les plus graves peuvent donner 3 notes différentes, par un
ingénieux système de petits soufflets. Ce qui fait
évidemment gagner du volume. De même, il divise par deux
la longueur des jeux de fonds, en jouant sur la pression
d'air et les embouchures. Bien sûr, la qualité de son n'est
pas la même qu'un vrai jeu de 8 pieds. Les tuyaux de la
trompette sont merveilleusement coudés pour entrer dans
le meuble. Debierre en fut fabriqué environ 500, que l'on
trouve surtout en Loire-Atlantique, mais il y en eut
beaucoup installés dans les anciennes colonies françaises,
avec un traitement spécial "tropicalisé".
(texte : Roger Martin)
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